En ces temps inattendus du Grand Confinement chacun essaie de s’occuper, d’une manière ou d’une autre : lecture (on est ou on n’est pas adhérent de JMLIRE, or je le suis !), bricolage, jardinage ou plutôt entretien de mon petit terrain, tchatche sur les réseaux sociaux, télé (des efforts louables de certaines chaînes, sauf TF1 bien entendu, qui continue à nous abreuver de ses programmes débiles interrompus par des pubs)… Et puis, bien sûr, les contacts téléphoniques et autres avec les proches, parents, petits enfants, amis, dont vous êtes.
J’allais oublier l’observation des oiseaux mais vous alliez rectifier de vous mêmes ! Parlons en ! J’ai vite fait le tour de ma propriété mais cela ne m’a pas empêché d’écouter les oiseaux chanter et de les observer, du moins les mâles puisqu’il leur revient le redoutable privilège du chant, ce dont ils s’acquittent très bien : le Merle noir est une vraie star dans cet exercice mais la Fauvette à tête noire se débrouille bien pour attirer la femelle qui a par ailleurs une tête marron !
Le Pinson, lui, chante comme…un Pinson ! Et ça marche !
Les Mésanges, bleues ou charbonnières ont un chant plus répétitif.
Les Verdiers et Serins cini des chants plus stridents
Évoquons rapidement les Tourterelles turques dont le roucoulement semble supplanter momentanément le bruit de fond habituel de la ville.
Demain (ou après-demain) comme aujourd’hui, si vous le voulez je poursuivrai cette chronique personnelle du Grand Confinement.